Archive | avril, 2016

La confiance, la clé de la réussite

27 Avr

Voici un échange qui devrait vous intéresser :

À lire en PDF en cliquant ici

 

Pourquoi n’arrive-t-on pas à réformer notre pays ?

21 Avr

Article paru dans ENTREPRENDRE.

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Alexandre Jardin sur les Jeudis de la stratégie 2016

14 Avr

Petit mot d’Alexandre Jardin, sur le programme des Jeudis de la Stratégie.

Merci!

On peut sortir de la crise de l’élevage – chronique aux Echos

14 Avr

L’investissement du chinois Synutra dans une laiterie à Carhaix montre que même si nos agriculteurs connaissent des incertitudes, les opportunités sont là. Il y a cinq raisons d’y croire.

1) Il faut d’abord remercier Danone, qui a su sensibiliser la Chine au lait, en y vendant il y a trente ans ses premiers yaourts. Les choses prennent de l’ampleur, le lait va continuer à croître.

2) La Chine va perdre beaucoup de surface agricole à cause de son urbanisation galopante. Nous n’avons pas ce problème ici chez nous. C’est la terre qui fait la qualité du produit, travaillons la nôtre pour en faire la meilleure du monde, nous récolterons les fruits de cet investissement quel que soit le produit que nous cultiverons.

3) Le coût de transport par route de la Bretagne à Marseille est à peu près le même (50 euros par tonne) que celui d’un transport par navire de la Bretagne a Shanghai. Ouvrons un port commercial à Brest, confions-le à une société privée (voire étrangère si nous sentons que les dockers CGT au lieu de se mettre au service du projet y voient l’opportunité d’étendre leur emprise !).

4) Si les Chinois se tournent vers nos éleveurs de lait, on peut parier que nos éleveurs de porcs sont plus productifs que les leurs ; vendons nos porcs directement sur Alibaba aux magasins de leurs régions côtières.

5) Les Asiatiques raisonnent volontiers en termes de réciprocité ; ils seront fiers de nous vendre des technologies agricoles ; demandons-leur de nous initier à leur technologie d’élevage des poissons et de culture d’algues. Nous pourrons mettre la pédale douce sur la pêche, reconvertir nos marins et reconstituer les stocks de poisson : s’il faut adapter nos cochons au goût chinois, eh bien, proposons d’élever les leurs ! Une fois les flux chinois installés, on frappera à la porte de New York. Nos agriculteurs peuvent très bien conquérir le monde comme ont su le faire notre cuisine et notre industrie du luxe !

 

Plus d’articles sur le site des échos

12 minutes de conférence qui valent bien un livre

14 Avr

FullSizeRender(2)source : le site www.libres.org

Mes tweet préférés des « Jeudis de la Stratégie »

12 Avr

635920994654628317863907774_TwitterJe suis fan de twitter, vous le savez. Voici mes tweets préférés suite aux Jeudis de la Stratégie.

 

La Stratégie c’est l’art de se débrouiller face à des concurrents intelligents

J’ai pris confiance en moi le jour où on m’a fait confiance

Une petite flamme , si vous savez l’alimenter,  peut embraser le monde.

La concurrence saine , ça tire tout le monde vers le haut

La réussite n’existe que parce qu’on accepte le risque de rater

Quand on est dominé il faut flatter le leader , quand on est leader il faut cultiver son humilité

La vraie valeur est dans les personnes il est capital de bien s’entourer

Je vous encourage à lire beaucoup

Depuis notre réveil nous avons fait travailler plus de 100000 entreprises

Faites ce que vous voulez mais faites le bien et si possible mieux que les autres

La mondialisation part toujours de spécificités locales

Rien qu’en France nous avons besoin de 2500000 bonnes stratégies

Il vaut mieux être leader avec 20% d’un marché que suiveur avec 30%

Un bon stratège est capable de deviner la Strategie de son concurrent

Un vrai leader ? Le patron d’une boîte qui marche , il faut du résultat !

L’échec fait partie de la construction

D’abord s’ancrer localement puis s’etendre , plus on a d’appuis solides plus la force de frappe sera grande

Merci pour ce cours de Stratégie d’anthologie

Je n’ai pas vu passer les 4 heures ce qui est rare

Il faut accepter d’être à l’aise malgré les incertitudes

Les bons stratèges sont très concrets , ils connaissent toutes les pièces de l’échiquier

Qui trop embrasse mal étreint

Une des clés de la réussite est de bien définir les contours de son métier

Il faut être très curieux du métier des autres , échanger permet de grandir ensemble

La responsabilité du dirigeant c’est d’être à l’aise dans l’inconfort et de l’assumer pour ses collaborateurs

Un bon stratège à une bonne connaissance de son environnement .En france on a tendance à nier les faits

Il n’y a pas de bonne Stratégie sans une bonne segmentation

J’aime les petites boîtes leader

La vente  est un métier noble , il faut un équilibre entre la vente et la technique

La Stratégie c’est de la technique + de la psychologie + le sens du timing

Diriger ? Je passais mon temps à former à la Stratégie

Avec  de la créativité et l’amour de son métier il y a toujours moyen de se différencier

Le bon chef est celui qui a toujours le moral

Les gens vraiment bons sont des gens simples

Télécoms : big is beautiful – Chronique aux Echos

7 Avr

 

Trois ou quatre opérateurs dans le téléphone ? Réponse : l’erreur est dans la question ! En matière de stratégie, le marché national est une mauvaise définition géographique ; le champ concurrentiel finit toujours pas s’étendre au monde. Regardez l’automobile : dans les années 1900, le terrain de jeu était le pays (Panhard était leader en France !) ; entre les deux guerres, c’était le continent ; aujourd’hui, c’est le monde. Cette extension est le fruit de l’effet d’expérience. De quoi s’agit-il ? Le prix des communications téléphoniques descend (tout le monde le voit) parce que les coûts baissent, le leader a donc un avantage de coût sur ses suiveurs. Regardez les comptes : les petits gagnent moins en pourcentage des ventes. Il y a dès lors une double valeur aux concentrations pour un petit pays comme le nôtre : le leader a les ressources pour conquérir le monde et, contrairement à ce que tout le monde croit, les prix sont plus bas.

Voici pourquoi : l’écart de coût entre concurrents étant de l’ordre de 15 % par doublement, un concurrent cinq fois plus gros a des coûts d’au moins 30 % inférieurs à ceux de son suiveur. Il vaut donc mieux une situation où le leader possède 50 % du marché, un numéro deux 25 % et deux suiveurs 12,5% qu’une situation où 10 concurrents se battent avec chacun 10 % du marché.Même si les marges du leader seront plus élevées (disons de 20 %), les prix seront environ de 20 % plus bas que dans la situation de concurrence (très improprement appelée « pure et parfaite ») où les marges seront de 5 %.

Quand la compétition est mondiale, le consommateur gagne sur le plan des prix à une concentration locale. De plus, le leader aura les moyens de partir à la conquête du monde, ce qui lui permettra de continuer à baisser ses prix en augmentant sa taille. Quelle tristesse que le rapprochement Bouygues Telecom-Orange n’ait pu se faire. Le jour où les gens auront compris l’effet d’expérience, les choses iront peut être un tout petit peu mieux !
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Interview deFrançois Dalens dans le Figaro

7 Avr

INTERVIEW – Le directeur général responsable des bureaux de Paris, Casablanca et Tel Aviv du Boston Consulting Group, explique pour le métier de dirigeant vit «une révolution».

LE FIGARO. – Quels sont les défis auxquels les dirigeants doivent faire face?

François DALENS. – Ils doivent relever quatre défis majeurs: ceux de la complexité, de la volatilité, de l’impératif de croissance ainsi que des nouvelles attentes des salariés. Les Américains ont inventé le mot Vuca pour désigner ce nouveau monde qui est volatile, incertain, complexe, et ambigu. Ce terme définit bien la situation actuelle.

Sont-ils de plus en plus soumis aux exigences des actionnaires?

Les dirigeants sont surtout soumis à des injonctions contradictoires en permanence. Celles-ci émanent des clients, des actionnaires, des salariés, des citoyens, des ONGs, des pouvoirs publics et la tendance ne cesse de s’accélérer. C’est une situation assez inédite dans l’histoire.

Les manières de travailler changent-elles?

La globalisation et le digital ont changé les manières de travailler et remis en cause les business models les plus établis. La concurrence est …

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